Il y a un malentendu qui oppose l’individuel au collectif. Celui-ci est sans doute nourri par les contradictions de notre époque, une période où les frontières géographiques sont de plus en plus débattues alors qu’elles s’évanouissent à travers la technologie numérique. Une réalité subjective où l’authenticité s’habille d’une déclinaison de filtres. Pourtant, le collectif reste une somme d’individualités. C’est la diversité de ces dernières qui tend à les penser comme des entités aux valeurs incompatibles. Mais alors, si la communauté est faite de personnalités différentes, qu’est-ce qui les rapproche? Common Language. Un langage commun. Celui des corps qui racontent une histoire, toujours singulière et unique. Celui de l’art, qui relie les cultures les plus éloignées, fait vibrer les émotions et entame le dialogue par-delà les stéréotypes. C’est de cette volonté de partager cette langue universelle qu’est né ce magazine. Projet éditorial atypique, il est initié par le Groupe Chantelle, un ensemble de marques aux histoires, elles aussi, différentes. Des visions complémentaires unies autour d’une philosophie commune qui place la qualité, la créativité et la simplicité en étendards.
Malgré leurs différences, un point commun relie les invitées de ce dixième numéro de Common Language. Toutes évoquent un rapport à la géographie. Bien évidemment, il n’est pas littéral, et si certaines questionnent les frontières, qu’elles soient artistiques ou politiques, ici elles parlent plutôt d’une géographie spirituelle. À l’image de la réalisatrice et autrice Axelle Jah Nike qui s’inspire de l’écrivaine Bell Hooks, qui publia en 1984 l’ouvrage Feminist Theory, from Margin to Center, de la marge au centre. L’américaine est également l’une des références de l’architecte Meriem Chabani, co-créatrice de l’agence New South qui, comme son nom l’indique, s’évertue de revoir notre conception des « Suds ».
Dans ce numéro, il est également question d’alignement intérieur, comme nous l’explique l’avocate Violaine de Filippis Abate qui trouve dans son combat féministe une manière de lutter contre les violences qui nous entourent. D’autres cherchent à sortir du cadre, comme la rappeuse Davinhor qui refuse de se laisser enfermer par les normes. La musicienne Adèle Castillon bouscule elle aussi les conventions et se dévoile à travers ses textes avec une sincérité bouleversante. L’art comme boussole, c’est également le crédo de la plasticienne française Nicola L. qui n’aura cessé de voyager tout au long de sa vie. Le corps fût au centre de sa démarche. Impossible de ne pas faire le parallèle avec Lee Lozano, née deux années auparavant sur le continent américain. Son travail, esthétiquement très éloigné, questionna lui aussi le corps. Mais là où la première prônait un devenir collectif, la seconde opta pour une quête sans compromis axée sur le soi. Toutes deux firent le choix de se rebaptiser.
Toutes deux laissent une empreinte considérable.
D’autres correspondances, qu’elles soient visuelles ou textuelles, vous attendent dans les pages de ce numéro de Common Language qui fête son cinquième anniversaire avec l’envie de partager encore plus.
France
24x32cm
1300g
15 €
Quantité
A-t-on toujours besoin des mythes ? Nos sociétés modernes n’aiment rien tant que les contradictions, et c’est justement pour cela que les mythes nous sont toujours utiles. En nous aidant à comprendre ce qui nous entoure, ils agissent comme des repères. Mais il semble judicieux, pour ne pas dire essentiel, d’y introduire de nouveaux protagonistes, des figures à même de convoquer la complexité de notre époque.
Par le plus grand des hasards, et alors que cela n’est pas toujours leur domaine de prédilection, les invitées de ce neuvième numéro de Common Language ont toutes un rapport très fort à l’écriture. Comme si les mots retrouvaient leur force malgré la domination des images. Le reste des pages de Common Language fourmille de couleurs, de formes et de sensations qui viendront animer ces futures fresques, comme autant de témoignages de nos quotidiens.
Car les histoires d’aujourd’hui feront les mythes de demain.
France
24x32cm
1300g
15 €
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Cette idée d’harmonie
Mens sana in corpore sano. Un esprit sain dans un corps sain. Plus que répandue, la formule a perdu de son sens au fil
du temps, séparant la chair de l’âme. Pourtant, les deux
sont intrinsèquement liés. Hippocrate affirmait que : « L’homme doit harmoniser l’esprit et le corps. » Et c’est
cette idée d’harmonie qui est au centre de ce nouveau numéro de Common Language. Des mondes intérieurs aux mondes physiques, les chemins de traverse sont parfois sinueux, mais toujours passionnants. Les invités de ces pages sont autant d’exemples qui témoignent de cette richesse. Ainsi, le collectif États de Corps est un espace artistique de réflexions
et de rencontres autour des corporalités, mettant en avant
la diversité des regards et des histoires. À l’inverse, la peintre Jenny Brosinski explore son propre paysage intérieur pour convoquer l’universel. Un saut dans le passé nous permet
de découvrir le travail méconnu de Werner Kunz, réalisateur suisse né en 1926 qui a produit des dizaines de courts
et longs-métrages explorant le naturisme, mode de vie basé
sur la communion avec la nature. Autre exemple, plus ancien encore : l’Américaine Loïe Fuller passa sa vie à expérimenter en mélangeant ses recherches corporelles et scientifiques
à son observation des mondes végétal et animal, mais aussi de ses états d’âme. Elle mit ainsi au point un langage chorégraphique inédit, aujourd’hui encore admiré, source d’inspiration pour de nombreux artistes.
D’autres histoires se déclinent dans ce huitième numéro
de Common Language. Chacune à leur manière montre
à quel point la recherche d’harmonie est une quête qui ne supporte guère les formatages. Méfiez-vous des raccourcis, osez les chemins de traverse !
France
24x32cm
1300g
15 €
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24x32cm
1300g
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OUVRIR LES POSSIBLES
Le rêve, celui qui s’épanouit dans le sommeil, dégage souvent par son caractère éphémère un certain parfum d’amertume. À peine l’esprit se réveille qu’il devient nostalgique d’un moment qu’il ne retrouvera – sans doute – jamais. Le rêve éveillé est quant à lui porteur d’une énergie galvanisante. Il ouvre les possibles, s’impose comme une force créative et s’affirme en rempart contre la morosité. Face aux inquiétudes de l’époque, il nous a semblé important de le célébrer à travers ce numéro.
Qu’il soit abordé sous un angle scientifique, à travers le travail de l’artiste et philosophe Marion Roche, ou psychanalytique, grâce aux clés de lecture fournies par l’onirologue Tristan-Frédéric Moir, le rêve se déploie dans toutes les disciplines. L’histoire de l’art n’est pas en reste. Le mouvement surréaliste pour qui l’exploration du monde onirique permettait de reconnecter l’Homme avec son intériorité s’est développé au début du XXe siècle.De nombreuses femmes ont contribué à son essor, le plus souvent dans l’ombre des figures masculines. L’histoire les redécouvre aujourd’hui et souligne l’importance de leurs pratiques.Trois d’entre elles – Dorothea Tanning, Leonora Carrington et Claude Cahun – sont ici mises à l’honneur.
Le rêve, c’est aussi le partage de certains destins hors normes. Ce sixième numéro de Common Language va à la rencontre d’Aya Cissoko, boxeuse auréolée de nombreux prix qui n’a cessé de se réinventer pour devenir aujourd’hui la porte-parole d’une jeunesse laissée en marge. C’est la poésie si singulière, entre simplicité et fulgurance, d’Eileen Myles, ou les paysages sonores d’Yndi, véritable invitation au voyage. C’est la redécouverte de paysages quotidiens où se superposent les souvenirs, révélés par un troublant jeu de mise en abyme chez la peintre Eva Nielsen.
Le rêve est enfin politique. Qu’il soit personnel ou collectif, c’est une source d’émancipation qui déplace l’ordre établi. En ces temps anxiogènes, il nous faut réapprendre à rêver. Mais plutôt que de fermer les yeux, nous vous invitons à les garder grand ouvert.
France
24x32cm
1300g
15 €
OUVRIR LES POSSIBLES
Le rêve, celui qui s’épanouit dans le sommeil, dégage souvent par son caractère éphémère un certain parfum d’amertume. À peine l’esprit se réveille qu’il devient nostalgique d’un moment qu’il ne retrouvera – sans doute – jamais. Le rêve éveillé est quant à lui porteur d’une énergie galvanisante. Il ouvre les possibles, s’impose comme une force créative et s’affirme en rempart contre la morosité. Face aux inquiétudes de l’époque, il nous a semblé important de le célébrer à travers ce numéro.
Qu’il soit abordé sous un angle scientifique, à travers le travail de l’artiste et philosophe Marion Roche, ou psychanalytique, grâce aux clés de lecture fournies par l’onirologue Tristan-Frédéric Moir, le rêve se déploie dans toutes les disciplines. L’histoire de l’art n’est pas en reste. Le mouvement surréaliste pour qui l’exploration du monde onirique permettait de reconnecter l’Homme avec son intériorité s’est développé au début du XXe siècle.De nombreuses femmes ont contribué à son essor, le plus souvent dans l’ombre des figures masculines. L’histoire les redécouvre aujourd’hui et souligne l’importance de leurs pratiques.Trois d’entre elles – Dorothea Tanning, Leonora Carrington et Claude Cahun – sont ici mises à l’honneur.
Le rêve, c’est aussi le partage de certains destins hors normes. Ce sixième numéro de Common Language va à la rencontre d’Aya Cissoko, boxeuse auréolée de nombreux prix qui n’a cessé de se réinventer pour devenir aujourd’hui la porte-parole d’une jeunesse laissée en marge. C’est la poésie si singulière, entre simplicité et fulgurance, d’Eileen Myles, ou les paysages sonores d’Yndi, véritable invitation au voyage. C’est la redécouverte de paysages quotidiens où se superposent les souvenirs, révélés par un troublant jeu de mise en abyme chez la peintre Eva Nielsen.
Le rêve est enfin politique. Qu’il soit personnel ou collectif, c’est une source d’émancipation qui déplace l’ordre établi. En ces temps anxiogènes, il nous faut réapprendre à rêver. Mais plutôt que de fermer les yeux, nous vous invitons à les garder grand ouvert.
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Le rêve, celui qui s’épanouit dans le sommeil, dégage souvent par son caractère éphémère un certain parfum d’amertume. À peine l’esprit se réveille qu’il devient nostalgique d’un moment qu’il ne retrouvera – sans doute – jamais. Le rêve éveillé est quant à lui porteur d’une énergie galvanisante. Il ouvre les possibles, s’impose comme une force créative et s’affirme en rempart contre la morosité. Face aux inquiétudes de l’époque, il nous a semblé important de le célébrer à travers ce numéro.
Qu’il soit abordé sous un angle scientifique, à travers le travail de l’artiste et philosophe Marion Roche, ou psychanalytique, grâce aux clés de lecture fournies par l’onirologue Tristan-Frédéric Moir, le rêve se déploie dans toutes les disciplines. L’histoire de l’art n’est pas en reste. Le mouvement surréaliste pour qui l’exploration du monde onirique permettait de reconnecter l’Homme avec son intériorité s’est développé au début du XXe siècle.De nombreuses femmes ont contribué à son essor, le plus souvent dans l’ombre des figures masculines. L’histoire les redécouvre aujourd’hui et souligne l’importance de leurs pratiques.Trois d’entre elles – Dorothea Tanning, Leonora Carrington et Claude Cahun – sont ici mises à l’honneur.
Le rêve, c’est aussi le partage de certains destins hors normes. Ce sixième numéro de Common Language va à la rencontre d’Aya Cissoko, boxeuse auréolée de nombreux prix qui n’a cessé de se réinventer pour devenir aujourd’hui la porte-parole d’une jeunesse laissée en marge. C’est la poésie si singulière, entre simplicité et fulgurance, d’Eileen Myles, ou les paysages sonores d’Yndi, véritable invitation au voyage. C’est la redécouverte de paysages quotidiens où se superposent les souvenirs, révélés par un troublant jeu de mise en abyme chez la peintre Eva Nielsen.
Le rêve est enfin politique. Qu’il soit personnel ou collectif, c’est une source d’émancipation qui déplace l’ordre établi. En ces temps anxiogènes, il nous faut réapprendre à rêver. Mais plutôt que de fermer les yeux, nous vous invitons à les garder grand ouvert.
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24x32cm
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Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
Lancer les premiers mots. Avant de les poursuivre, au détour d'une conversation.
France
24x32cm
1300g
15 €
Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
Lancer les premiers mots. Avant de les poursuivre, au détour d'une conversation.
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Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
Lancer les premiers mots. Avant de les poursuivre, au détour d'une conversation.
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Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
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24x32cm
1300g
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Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
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Qu'ils soient dans leur pratique populaires ou contestataires, débutants ou confirmés, agacés ou apaisés, les invités de ce quatrième numéro ont pour dénominateur commun la même passion sans barrières. Il y a celles qui font danser les mots, comme la poétesse I.S. Jones ou la musicienne Wavy The Creator. Il y a celles qui inventent des mondes, comme l'artiste Zohra Opoku dont l'œuvre ne cesse de tisser des liens entre récits intimes et grande histoire. Engagement et diversité sont donc mis à l'honneur à travers ce numéro qui nous fait également redécouvrir les pays de l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Nigeria en passant par le Ghana, tant pour la beauté de leurs paysages que pour la richesse de leurs cultures. Alors que le monde fait face à la pandémie et que les inégalités se crient à travers des mouvements essentiels comme Black Lives Matter, il nous semble important d'accueillir et partager ces regards contemporains, multiples, complémentaires. Aller à la rencontre de l'autre, s'ouvrir à d'autres perspectives, se plonger dans des récits étrangers à sa propre histoire, cela permet de mieux comprendre.
Initiée par le Groupe Chantelle, notre publication ne se veut pas exhaustive. Il nous faudrait tant d'espace et de temps pour mettre en lumière tous les talents, les histoires et les vies que nous aimerions faire connaître. Il ne s'agit donc pas d'offrir un objet parfait, mais d'initier le dialogue.
Lancer les premiers mots. Avant de les poursuivre, au détour d'une conversation.
France
24x32cm
1300g
15 €
Archipel vaste et contrasté, riche d'une culture singulière et enviée, le Japon reste une terre de mystères dont les nombreux secrets ne cessent de fasciner. Dans ce troisième numéro de Common Language, l'équilibre entre tradition et modernité si spécifique à la culture japonaise se décline et s'incarne à travers les talents de femmes aux histoires et parcours multiples, issues de générations différentes. Entre imagerie pop et philosophie zen, passé et futur, mythes populaires et secrets bien gardés, la culture japonaise assume ses contradictions et sa pluralité. Common Language cherche à ouvrir de nouvelles perspectives et embrasser des points de vue différents, plus larges que ceux qui rendent la norme trop souvent restrictive. Et voir au-delà des apparences.
France
24x32cm
1300g
15 €
Défaire les mythes. Ce second numéro de Common Language met à plat les grands récits fondateurs et tente de comprendre comment ceux-ci se sont répandus à travers le temps et au-delà desfrontières. Et quel meilleur exemple que les États- Unis d'Amérique, collage de territoires aux cultures variées. Il ne s'agit pas ici de retracer son histoire mais de voir comment ce brassage a permis de faire émerger différentes voix, entendues et respectées. Nous mettons donc à honneur ces personnes qui ont su rassembler au sein même et par-delà leurs communautés. À travers ses différents articles et reportages, qu'il s'agisse de portraits ou de portfolios artistiques, Common Language ouvre ses pages à des femmes qui prouvent que le meilleur pour l'avenir n'est pas qu'utopie, mais une vision à défendre. Définir nos utopies. Prôner une féminité multiple, inclusive, fluide, un regard tout autant attentif à soi qu'ouvert aux autres. Il s'agit là d'un engagement inspirant, à l'image de toutes ces femmes qui partagent ici leur histoire.
France
24x32cm
1214g
15 €
Ce premier numéro de Common Language répond d'abord au désir de représenter les femmes dans toutes leurs diversités: artiste, sensible, solidaire, philosophe, curieuse... Difficile, pour ne pas dire
impossible, d'être exhaustif; c'est pour cela que ce premier chapitre existe, en attendant d'être complété par les prochains. Si les héroïnes de ce récit sont multiples, l'action se concentre elle sur un territoire unique: la Sicile. Île aux mythes fondateurs, elle reste cette terre des croisements à la lumière si particulière, parfait décor pour débuter ces rencontres.
France
24x32cm
998g
15 €